Ce soir le HBCC reçoit Thionville à 20h30 à la maison des sportsD'où provient la ferveur populaire cette année
Lors de la signature de son premier contrat en mars 2000 en tant que chargé du centre d'entraînement et des - 18 ans, Christophe Fourcot, l'actuel entraîneur de l'équipe première se souvient de l'ambiance qui régnait alors au gymnase de la Verrerie. « Il n'y avait que très peu d'engouement populaire autour de l'équipe 1 », déclare-t-il. Il se souvient que les entrées payantes se situaient à jeune cinquantaine en moyenne. Et pourtant, l'équipe évoluait déjà en N2 (une division en dessous que cette saison).Par contre, les jeunes de -18 ans, avaient un public qui les poussait. Alors pourquoi une telle différence ? Christophe Fourcot a une explication à fournir. « Beaucoup de jeunes venaient de Chalon alors que chez les seniors, ce n'était pas le cas », analyse-t-il. Le public venait voir les jeunes et repartait ensuite alors que les seniors jouaient dans la foulée.Et les années ont passé ainsi, avec des spectateurs végétants. Jusquà l'an dernier qui marque un tournant. Déjà, pour cause de travaux, les handballeurs vont à la Maison de sports. L'ancien antre de l'Elan devient celle du HBCC. « Quand on est sur le terrain, on sent que le public pousse », précise l'entraîneur, comme lors du match contre Belfort où le nul est arraché en fin de rencontre alors que tout le restant de la partie, les Chalonnais étaient dominés au score.Mais la salle n'est pas la seule raison. Le club s'est structuré. Dans les gradins, quelques animations fleurissent et surtout, sur le terrain, le spectacle est au rendez-vous. « Quand on joue à ce niveau, on ne peut pas se contenter de gagner uniquement. Les joueurs veulent offrir quelque chose d'autre encore au public », termine-t-il. Un public qui doit devenir passionné.Des cinquante personnes parsemant les gradins de la Verrerie, ils étaient 1 200 aficionados contre le leader Villeneuve-Loubet cette saison. Il reste désormais quatre matchs, celui de ce soir compris dont deux avec des concurrents directs pour le haut du classement : La Robertsau, 4e ex-aecquo et Valence, un point derrière. Espérons que ces équipes ressortent bredouille de l'arène chalonnaise.Grégory Jacob
Lors de la signature de son premier contrat en mars 2000 en tant que chargé du centre d'entraînement et des - 18 ans, Christophe Fourcot, l'actuel entraîneur de l'équipe première se souvient de l'ambiance qui régnait alors au gymnase de la Verrerie. « Il n'y avait que très peu d'engouement populaire autour de l'équipe 1 », déclare-t-il. Il se souvient que les entrées payantes se situaient à jeune cinquantaine en moyenne. Et pourtant, l'équipe évoluait déjà en N2 (une division en dessous que cette saison).Par contre, les jeunes de -18 ans, avaient un public qui les poussait. Alors pourquoi une telle différence ? Christophe Fourcot a une explication à fournir. « Beaucoup de jeunes venaient de Chalon alors que chez les seniors, ce n'était pas le cas », analyse-t-il. Le public venait voir les jeunes et repartait ensuite alors que les seniors jouaient dans la foulée.Et les années ont passé ainsi, avec des spectateurs végétants. Jusquà l'an dernier qui marque un tournant. Déjà, pour cause de travaux, les handballeurs vont à la Maison de sports. L'ancien antre de l'Elan devient celle du HBCC. « Quand on est sur le terrain, on sent que le public pousse », précise l'entraîneur, comme lors du match contre Belfort où le nul est arraché en fin de rencontre alors que tout le restant de la partie, les Chalonnais étaient dominés au score.Mais la salle n'est pas la seule raison. Le club s'est structuré. Dans les gradins, quelques animations fleurissent et surtout, sur le terrain, le spectacle est au rendez-vous. « Quand on joue à ce niveau, on ne peut pas se contenter de gagner uniquement. Les joueurs veulent offrir quelque chose d'autre encore au public », termine-t-il. Un public qui doit devenir passionné.Des cinquante personnes parsemant les gradins de la Verrerie, ils étaient 1 200 aficionados contre le leader Villeneuve-Loubet cette saison. Il reste désormais quatre matchs, celui de ce soir compris dont deux avec des concurrents directs pour le haut du classement : La Robertsau, 4e ex-aecquo et Valence, un point derrière. Espérons que ces équipes ressortent bredouille de l'arène chalonnaise.Grégory Jacob
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